De quoi tenir compte pour fixer le loyer ?

C’est à vous qui êtes propriétaire bailleur de votre appartement de fixer le loyer de celui-ci. Vous devez tout de même tenir compte du marché, autrement dit de l’offre et de la demande locales. En effet, il est primordial de respecter la loi du marché. Cela signifie se baser sur les loyers fixés pour le même type d’appartement que le vôtre. Les critères principaux sont l’emplacement et la superficie. Mais rappelez-vous également que les locations meublées sont forcément plus élevées. La présence d’un parking, d’un gardien ou d’un ascenseur impactent aussi le loyer ainsi que l’état de votre bien. Un autre aspect à prendre en considération, c’est le niveau de performance énergétique de votre appartement. Consultez les petites annonces sur des biens similaires au vôtre pour avoir le plus d’informations possibles sur les loyers pratiqués.

Informations sur la fixation de loyer

Dans les zones tendues, c’est-à-dire dans 1 149 villes de 28 agglomérations de métropole, les loyers sont désormais plus encadrés. C’est une disposition visant à maîtriser la hausse des loyers, en cas de changement de locataire ou de renouvellement de bail. En fait, si vous louez votre appartement pour la première fois, vous fixez votre loyer comme vous l’entendez. Vous pouvez vous inspirer sur ce site pour calculer votre loyer. Mais dès qu’il y a un changement de locataire, vous perdez cette liberté. Vous êtes dans l’obligation de pratiquer le même loyer que pour le précédent locataire. Toutefois, si vous avez entrepris des travaux de rénovation énergétique dans votre appartement, il vous revient, à vous seul, de fixer votre loyer. Il en est de même s’il s’avère que le dernier loyer était trop bas par rapport à celui du marché. Cependant, n’appliquez jamais un loyer trop haut, vous risquez impayés sur impayés.

La location d’une villa

Le plus grand problème soulevé lorsque vous louez une villa est que c’est de l’argent que l’on gaspille inutilement. La réalité en est pourtant tout autre. Si vous voulez vivre dans un endroit décent et de qualité, il faudra toujours payer le prix.

L’un des avantages de la location d’une villa est que vous avez une idée précise des coûts et des charges mensuelles. Cela vous donne la possibilité de vous organiser en conséquence. Dans certains cas, les propriétaires de villas incluent certains coûts dans le loyer. Découvrez tout ce qu’il faut savoir sur la location d’une villa en ouvrant ce lien.

Mais l’une des contraintes de la location d’une villa réside dans l’obligation de déménager si votre bail n’est pas renouvelé. C’est également le cas, lorsque le bailleur décide de vendre sa propriété. Lors d’une location, vous pouvez également vous attendre à des augmentations de loyer, ce qui sera problématique pour vous si vous ne disposez pas des revenus nécessaires pour cela.

L’achat d’une villa

L’achat d’une villa ou d’un autre type de bien immobilier vous fait bénéficier du statut de propriétaire. Vous aurez non seulement tout un espace rien qu’à vous, mais aurez aussi toute la liberté de penser aux perspectives d’aménagement et d’amélioration au niveau de la conception par exemple.

De plus, en étant propriétaire, vous pouvez profiter de taux très bas qui vous donnent la possibilité d’économiser sur vos mensualités. Vous n’aurez plus à supporter des charges locatives très importantes. Il faut, en effet, admettre que ce type de bien immobilier est souvent assez cher.

Cependant, lorsque vous êtes propriétaire d’une villa, vous devez prendre certaines tâches en charge comme l’entretien de la propriété, les réparations, etc. Vous avez donc une idée précise des inconvénients et des avantages de chacune de ces options.

Contexte

Il s’en est fallu de peu pour que le monde connaisse à nouveau un krach boursier de grande ampleur. Heureusement que les gouvernants de chaque pays ont su proposer des plans de relance au moment opportun, parallèlement aux déconfinements partiels et totaux entamés depuis le premier trimestre 2021. En Suisse, comme un peu partout dans le monde, l’immobilier a été frappé de plein fouet par la crise. Ce qui a logiquement perturbé le marché, et a provoqué une augmentation des prix des villas, des immeubles, ou des appartements en PPE (propriété par étages) sur tout le territoire. À titre d’exemple, le prix d’une villa en périphérie a fait un bond de 5 % depuis le début de la pandémie, tandis que les appartements ont connu une hausse de l’ordre de 3 % à 4,5 % le m². Pour votre information, une maison à 5 pièces coûte environ 885.000 € à l’heure actuelle.
Si vous projetez d’acheter un nouvel habitat, rendez-vous sur RealAdvisor pour voir le cours actuel des prix des logements en Suisse.

Causes réelles du changement

Les mesures sanitaires prises par les autorités, et le maintien du télétravail par certains chefs d’entreprises ont particulièrement favorisé la hausse des prix de l’immobilier. En effet, si auparavant, chacun ne se souciait pas vraiment de l’importance de leur maison au quotidien, dès le début des restrictions, l’intérêt pour le logement s’est accru, car maintenant, bureau et salon/chambre ne font plus qu’un. Donc, il est logique que les gens soient à la recherche d’une maison plus grande (de préférence en périphérie) quitte à faire des sacrifices au niveau de leur budget.
Cette augmentation des prix est également due à la conscientisation des gens sur l’importance de la vie de famille, et le fait de profiter de chaque moment passé avec leurs proches. Aussi, la tendance est actuellement à l’acquisition des résidences secondaires pour les plus aisés.

Signature du mandat de gestion immobilière

La première étape pour mettre en gestion votre bien immobilier consiste à signer le mandat de gestion. Ce document attestera que vous avez bel et bien confié l’administration de votre patrimoine immobilier à un professionnel en la matière. D’une manière générale, votre mandat doit être signé avant la commercialisation du logement en question. La date quant à elle sera définie en fonction de la date de débit du locataire actuel ou de la livraison du bien, pour le cas d’une construction neuve.

Estimer la valeur locative et préparer la mise en location du bien

Pour cette deuxième étape, le mandataire de gestion se doit de réaliser une étude personnalisée de votre bien à louer. L’objectif étant de tirer les caractéristiques les plus importantes ainsi que ses atouts pour déterminer la valeur locative exacte de votre bien. Celle-ci sera notamment définie en fonction de la valeur du marché et des prestations offertes. Sont pris en compte : le type de bien, le nombre de pièces, l’aménagement, la situation géographique, la proximité des écoles et commerces… Sans compter les diagnostics obligatoires à mener pour la mise en location d’un patrimoine immobilier. L’ensemble de ces informations offrira au professionnel la possibilité d’effectuer une estimation appartement ou maison, en fixant le prix du loyer adapté à la nature de votre bien.

Trouver et choisir un locataire

Le fait de choisir un locataire est une démarche incontournable dans le processus de mise en location d’un bien immobilier. Pour ce faire, il revient au gestionnaire du bien de rechercher un locataire sur et parfaitement solvable. En ce sens, le mandataire devra mettre en œuvre un plan de communication sur mesure. Il informera plus spécialement de la disponibilité du bien à l’aide de quelques outils tels que la presse spécialisée, les plateformes immobilières en ligne, les réseaux sociaux, les vitrines d’agences, les panneaux, les newsletters et plein d’autres encore. Le gestionnaire immobilier aura par la suite pour mission d’organiser des visites avec les candidats.

Pour terminer, le mandataire choisira le meilleur candidat après une courte entrevue et une étude rigoureuse des différents dossiers. Et pour être certain de miser sur le bon locataire, rien de tel qu’une petite étude de la solvabilité et de l’historique de chacun des candidats. À savoir les revenus et les garants de ces derniers.

Une fois le futur locataire trouvé, les équipes responsables de la gestion immobilière de votre bien prendront soin de rédiger et faire signer le bail d’entrée dans les lieux. En sommes, voilà les étapes nécessaires à la mise en gestion immobilière locative de votre patrimoine immobilier. À vous de bien les appliquer pour garantir la réussite de votre projet.

Comment se présente un avis de valeur ?

L’avis de valeur peut être à l’oral ou à l’écrit, donné par l’expert immobilier en fin de visite du bien afin de donner le prix idéal pour sa vente. L’avis de valeur est réalisé à la demande du vendeur, normalement avant la signature d’un mandat de vente. L’avis de valeur n’a pas de valeur légale, mais il a plus une valeur commerciale. Il permet d’avoir une idée plus claire sur le prix à appliquer. Toutefois, il n’engage en aucun cas son auteur.

Comment réaliser un avis de valeur ?

Pour évaluer la valeur d’un bien, l’expert immobilier se base sur de nombreux paramètres. Il analyse toutes les caractéristiques du bien comme son emplacement, sa surface, le nombre d’étages et de pièces, les équipements, la copropriété et l’urbanisme, entre autres. Puis, il tient également compte des prix appliqués sur le marché sur les biens de mêmes caractéristiques. Enfin, il donne un prix moyen au propriétaire pour aider celui-ci à définir le prix idéal pour la transaction de son bien.

Quel est l’intérêt de l’avis de valeur ?

L’avis de valeur est une prestation payante, mais il est plus que nécessaire pour définir le prix exact de votre bien. Ce qui vous empêchera de sous-enchérir ou de surenchérir le bien. Dans le premier cas, vous réalisez une vente à perte. Dans le second cas, vous risquez de ne jamais trouver preneur pour votre bien. Notez que l’avis de valeur est ponctuel et vous devez le réaliser à un moment précis, puis le renouveler si la vente n’a pas encore été réalisée. Tout ceci s’avère nécessaire compte tenu de la volatilité du marché.

Qu’en est-il de l’avis de valeur locative ?

L’avis de valeur peut aussi se faire dans le cadre d’une location. L’avis de valeur locative a ainsi pour objectif d’estimer le revenu qu’on peut tirer de la location d’un bien immobilier. Pour effectuer l’avis de valeur locative, l’expert immobilier tiendra compte de la catégorie du logement, mais également sa superficie et son confort.

La lumière vient de l’aménagement

Un intérieur lumineux s’obtient en optant pour les peintures claires. Le blanc est un bon choix, mais vous pouvez aussi choisir d’autres tons. Les nuances de rose ou de beige pourront par exemple vos aider. Si vous êtes locataire, alors, il se peut que vous n’ayez pas droit de refaire la peinture. Placez les meubles sombres devant les sources lumineuses. C’est encore mieux si le mobilier contient beaucoup de verre transparent. Évitez de mettre le canapé contre une fenêtre. Il vaut mieux faire face aux sources lumineuses.

Miser sur les tapis, les rideaux

Sachez que les miroirs donnent l’impression de disposer davantage d’espace en plus d’illuminer votre intérieur. Mettez-en autant que vous pourrez. Gardez-vous tout de même de ne pas trop charger votre décoration intérieure. Investissez sur des meubles de couleur claire. Faites la même chose pour les rideaux et la moquette. Les nuances de blanc ne sont pas non plus obligatoires. Il faudra davantage opter pour des couleurs vives qui donnent un effet flashy.

Variez et multipliez vos sources lumineuses

Pour un intérieur cosy, multipliez les sources de lumière. En plus des lampes sur le plafond et ceux dans les abat-jours, essayez de mettre des spots LED. Ces derniers peuvent être incorporés aux meubles ou placés dans un coin de mur. Illuminez la partie de la maison que vous aimeriez mettre en valeur, un peu à la manière d’une torche. Avoir un intérieur baigné de lumière ne signifie pas forcément utiliser des luminaires au point de vous éblouir continuellement.

L’étape préalable à l’achat : la vérification

Il est possible qu’on tombe amoureux d’un bien immobilier, d’un premier coup d’œil. Cependant, il faut éviter les achats impulsifs. Le bien à acheter doit toujours être vérifié avant la signature de l’acte de vente. Pour ce faire, commencez par la vérification de l’environnement des lieux. Préférez les zones qui sont bien desservies par les transports en commun et qui aient une zone commerciale à proximité.  Pour l’avenir de vos enfants, il sera aussi préférable de choisir un logement dont les établissements scolaires sont proches et qui disposent de parcs et de parking. Ensuite, regardez comme est le voisinage. Le mieux serait de bénéficier d’un cadre calme, mais en ville, cela peut être difficile. On vous recommande dans ce cas, d’éviter les rez-de-chaussée qui sont souvent très bruyants. Prévoyez ensuite, la vérification du contexte administratif. Demandez à votre agent immobilier si le quartier fait l’objet d’un programme d’extension ou d’un autre projet d’urbanisation. Il faut aussi demander au vendeur les papiers administratifs concernant les extensions prévues sur le logement, ou la finalisation de la construction si vous achetez en VEFA. Et enfin, n’oubliez pas les éléments techniques. La vérification du bien doit se faire dans chaque pièce de la maison, et sur tous les éléments présents que ce soit le réseau électrique, celui de l’eau et du gaz, ou encore, l’état général du bien à l’intérieur et à l’extérieur.

La lettre d’intérêt et la vente théorique

Avant même de procéder à l’achat d’un bien immeuble ou même de chercher ce qui vous sied, vous devez connaitre les principaux risques du marché et d’une acquisition immobilière. Ces risques peuvent se remarquer après les visites et surtout, dans le cadre administratif. Ils se constatent dès la diffusion de l’offre de vente et de la demande d’achat. Une procédure doit être suivie pour éviter que l’une ou l’autre des parties ne fasse faux bond. Pour ce faire, après avoir détecter le logement idéal, le futur acquéreur doit toujours passer par la présentation de son intérêt à acheter le bien. Cela se fait de manière écrite et qui permet à l’acheteur de faire part de son acceptation concernant l’état du bien et le prix appliqué. Cette démarche permet au vendeur de connaitre précisément l’intention de l’acheteur. Cette demande pourra alors, être acceptée ou refusée. Dans le cas d’une acceptation, la vente peut alors se faire et le vendeur sera tenu de ne plus faire d’offre à un autre acheteur. Sa décision d’acceptation sera alors, formulée noir sur blanc selon le Code civil. Ce qui signifiera que la transaction est théoriquement, conclue. À partir de là, si l’une ou l’autre des parties ne conclue pas la vente de manière effective (contractualisation, transfert d’argent, transfert du bien, etc.) il est du droit de la victime de procéder à des actions judiciaires, demandant des dommages et intérêts. Cependant, il est aussi possible qu’après avoir reçu la lettre d’intérêt de l’acheteur, le vendeur n’accepte pas la demande d’achat. L’acheteur pourra alors se mettre à la recherche d’un nouveau bien à acquérir et le vendeur sera déchargé de toutes formes d’obligation envers ce dernier.

Comment trouver le logement à louer ?

La manière la plus sûre de trouver une maison à louer est de faire appel aux services des agents immobiliers. Mais, force est de reconnaître qu’elle est assez couteuse. Sinon, la recherche dans les petites annonces est une technique qui a fait sa preuve depuis la nuit des temps. Vous pouvez donc aussi recourir à ces dernières pour trouver votre futur logement. Puis aujourd’hui, vous pouvez aussi faire votre recherche sur Internet grâce aux progrès de la nouvelle technologie. Vous devez tout simplement choisir les plateformes d’annonces immobilières les plus sûres ou bien rechercher dans les réseaux sociaux. Soyez, néanmoins, toujours vigilant. Certaines annonces peuvent être trompeuses. Évitez donc de réserver un bien en location sans même l’avoir visité.

Que vérifier avant et après la signature du bail ?

Lorsque vous avez trouvé la maison idéale, il est préférable e constituer au préalable toutes les pièces dont vous pourrez avoir besoin. Cela vous permet d’éviter les pertes de temps et les réponses tardives des propriétaires. Rappelez-vous aussi qu’une caution, variable selon divers éléments (loyer, équipement, etc.) est souvent demandée. Pensez alors à bien vous renseigner à ce sujet. Mais avant tout cela, n’oubliez de bien faire l’état du lieu pour éviter toutes sortes de confusions par la suite. Il est possible de vous faire accompagner par un huissier ou une autre personne en guise de témoin. Vérifiez également si le contrat de bail ne contient pas des clauses abusives comme l’interdiction d’héberger d’autres personnes par exemple. À la fin du bail, soyez aussi attentif au moment de faire l’état du lieu. Lorsque la maison est restée intacte, la caution vous devra être remise. Ayez alors sur vous le document qui permet de voir l’état de lieu lors de votre arrivée à ce moment-là.

Le propriétaire doit attendre la fin du bail

Non. Le propriétaire n’a pas le droit de récupérer son appartement ou sa maison à tout moment. En France, la loi joue en faveur des locataires. Ces derniers sont protégés par le bail qui détermine la durée de la location. Les termes de cet accord écrit par les deux parties sont à respecter de manière stricte. Alors, soyez rassurés, vous pourrez toujours occuper les lieux jusqu’à la fin du contrat. Dans tous les cas, une durée de préavis vous sera accordée. Ainsi, vous aurez le temps de préparer votre départ.

Il ne sera pas question d’expulsion

À la fin de la durée déterminée par le bail, le propriétaire a la possibilité de récupérer son bien. Toutefois, il doit justifier cette décision. Parmi les choix, il peut présenter des motifs pour des raisons personnelles ou la revente. Le propriétaire doit commencer par envoyer une lettre recommandée avec accusé de réception. Il a également l’obligation de respecter un délai de préavis d’au moins 6 mois pour les appartements vides. Cette période descend à 3 mois pour les locations meublées.

Le cas d’une résidence secondaire

La loi est assez stricte pour les droits des propriétaires et des locataires. Dans certains cas, l’acte notarié sera même exigé. Ces procédures s’appliquent pour les résidences principales. Pour les locations occasionnelles ou de courte durée, les propriétaires jouissent davantage de liberté. Pour un pied-à-terre, la libération des lieux peut toujours être demandée à la fin du bail, mais le propriétaire n’est pas tenu justifier cette décision.